ECOUTER ASSISTER CONSEILLER DEFENDRE
La consultation doit tendre à apporter une réponse sûre et rapide au client afin de mettre en œuvre une méthodologie rigoureuse et délivrer un conseil adapté, fiable et opérationnel.
Le conseil donné doit constituer un véritable outil à la prise de décision et mettre en exergue les risques encourus ainsi que les solutions susceptibles d’être mises en œuvre pour pallier ou limiter ceux-ci.
L’avocat en droit public ne peut pas occulter les enjeux extra-juridiques qui s’attachent à tout contentieux administratif et cantonner son analyse au strict cadre juridique.
La consultation ne saurait en effet se borner à un simple rappel du droit applicable.
C’est au conseil qu’il revient de mettre en exergue les risques juridiques mais également extra-juridiques susceptibles d’être engendrés par le positionnement de son client seul décideur final.
C’est pourquoi, dans cette perspective, le cabinet s’attache toujours à proposer une conclusion qui fait apparaître clairement la solution préconisée et les éventuels risques juridiques mais également politiques, médiatiques, économiques susceptibles de se dessiner.
Au-delà du respect de la procédure, défendre au mieux les intérêts de son client implique de déterminer avec lui les stratégies les plus pertinentes en lui assurant une information régulière et en lui épargnant des frais inutiles en proposant le cas échéant la recherche de solutions amiables.
Il s’agit non seulement de convaincre, mais également d’anticiper les décisions et les éventuels recours.
En dix ans, le contentieux administratif a évolué en offrant à l’oralité une place déterminante qui écorne l’image d’Epinal de l’avocat qui se borne à s’en rapporter à ses écritures que pouvait décrire Monsieur FOURNIER, Conseiller d’Etat honoraire dans ses mémoires :
« Toute cette procédure … se déroule sans que l’on voit jamais le justiciable. Les échanges se font par écrit, que le requérant ait ou non un avocat … L’avocat peut théoriquement plaider, mais l’usage veut qu’il ne le fasse pratiquement jamais. On n’entend, à l’audience finale, que les conclusions du commissaire du Gouvernement, qui est un membre du Conseil ». (Itinéraire d’un fonctionnaire engagé, Dalloz, janvier 2008, p. 105).
Le droit public ne se pratique pas uniquement dans l’enceinte des juridictions administratives.
Les juges et conseillers de la mise en état, les tribunaux pour enfants, les juridictions pénales et civiles ont quotidiennement à connaître de problématiques de droit public tenant tantôt à leur compétence, tantôt à l’application ou l’interprétation de règles de pur droit public.
L’intérêt général n’étant pas la somme des intérêts particuliers, les juridictions administratives adoptent une méthodologie singulière pour le privatiste lequel ne voit souvent que par le prisme des intérêts privés.
Pour l’amener à franchir cette frontière, il appartient à l’avocat de faire œuvre de grande pédagogie pour convaincre le juge judiciaire de s’adonner à la pratique d’un droit qu’il juge souvent austère.
Le cabinet assiste au quotidien ses clients dans le cadre de procédures d’expulsions des domaines privé et public.
Il intervient pour des collectivités, mais également pour le compte d’entreprises, de concessionnaires de services publics et de particuliers pour défendre leur droit de propriété à l’encontre d’occupants sans droit ni titre.
Les situation de squats, les occupations illégales des domaines privés et publics, les procédures d’expulsion locatives doivent être traitées avec la plus grande célérité.
En contact quotidien avec les Huissiers de justice choisis pour leur diligence et leur réactivité, le Cabinet d’avocats Maudet-Camus dispose de leurs coordonnées directes et personnelles.
Ce réseau constitué d’un vingtaine d’huissiers de justice est un outil très performant pour la satisfaction de mes clients qui permet de gérer des situations de crise en quelques heures 365 jours par an.
Pour la majorité de nos clients le permis de conduire est avant tout un outil de travail.
Une accumulation de petites infractions, une étourderie, une prise de risque non mesurée peuvent conduire l’automobiliste à perdre l’intégralité de ses points.
Depuis près de dix ans le cabinet assiste au quotidien ses clients devant les juridictions administratives et pénales dans le but de leur permettre de conserver le droit de conduire sur le territoire français.
Ce contentieux technique se pratique tant devant les juridictions administratives que pénales voire civiles.
Comme chaque fois mais tout particulièrement dans ce contentieux, le cabinet se réserve la possibilité de refuser de prendre en charge la défense des intérêts d’un automobiliste dont l’attitude serait incompatible avec la bonne exécution de notre mandat.
Le cabinet intervient également pour les victimes d’accidents de la circulation ou dans le cadre de contentieux relatifs aux vices cachés des véhicules.